top of page
Employés de l'hôpital

Voici mon engagement

Accueil: Bienvenue

À propos de mon projet

J’ai réalisé mon social project engagement au sein du CHRU de Nancy. Avec Manon Couttier nous avions un réel désir de s’engager au sein du domaine hospitalier. Malheureusement avec la pandémie du Covid 19 la mission était bien plus compliqué. Nous avons donc eu la chance de s’investir dans le service hématologie oncologie pédiatrique. Pour nous la meilleure façon de s’engager dans le domaine hospitalier durant cette crise sanitaire, est de mettre en lumière le travail des associations. Nous tenons à adresser nos remerciements à toutes les personnes qui ont eu la gentillesse de nous donner de leur temps pour pouvoir nous recevoir, et tout particulièrement à Lyse Napoli-Navarro, cadre de santé dans le service, qui nous a organisé toutes ces rencontres.

Modern Laptop
Accueil: À propos de mon projet
Enfant en lit d'hôpital

Rencontre avec l'éducatrice

Marie Hélène Petit

Quel rôle jouez-vous au sein du service ?

Je suis au quotidien auprès des enfants. J’accompagne chaque enfant en essayant de l’aider au maximum. Je joue avec eux, organise les fêtes, prévoit des activités et réalise leurs rêves.


Comment faites-vous pour réaliser les demandes des enfants ?

Tout dépend la demande de l’enfant. Lorsque c’est une rencontre avec une célébrité je fais au maximum jouer notre réseau en essayant d’arriver à joindre la personne voulue. J’envoie souvent des mails pour expliquer notre demande et bien souvent j’ai des réponses positives. Par exemple, un enfant rêvait de rencontrer Cyril Lignac mais malheureusement celui-ci était en tournage est donc pas disponible. J’ai réussi à rentrer en contact avec Jérôme Anthony, animateur sur M6 qui a réussi à le joindre par téléphone. La jeune fille a donc pu discuter par Facetime avec Cyril Lignac et Mercotte pendant 45 minutes. Je me pose aucune limite quand il s’agit du rêve d’un enfant, j’essaie toujours et j’espère que ça marche.


Comment faites-vous pour égayer la vie à l’hôpital ?

J’essaie d’organiser un maximum de chose. Dès qu’il y a une fête comme Noël, Pâques, la fête des pères ou des mères, je décore ou prépare des activités pour divertir les enfants. 

Accueil: Introduction
jeune enseignant

AISCOBAM

Patricia Duchene

En quoi consiste votre association ?

Des cours gratuits à l’hôpital, c’est un projet signé AISCOBAM Aide scolaire aux adolescents malades. Une association créée en 1991 par un groupe de professeur du Lycée Point Carré de Nancy qui donc au début ne comporte que des bénévoles, ce sont aussi des donateurs qui permettent le fonctionnement de l’association.


Quels ont été les mesures prises pour cette association ?

L’action militante de l’association, le professionnalisme de ces membres abouti en 2012 au DCLH Dispositif Collège Lycée à l’hôpital qui associe le rectorat, les établissements de la santé et l’AISCOBAM. Des enseignants mis en disposition par le rectorat travaille en étroite collaboration avec des bénévoles de l’association.


Quels sont les différentes matières proposées par L’Aiscobam ?

Les disciplines assurées par les professeurs mis à disposition sont des professeurs de mathématiques, anglais, français, et EPS.


Si on devait chiffrer l’association ?

25O élèves par an avec 2000 heures de cours 60 professeurs bénévoles et l’organisation d’examen, de brevet, baccalauréat ou BTS demande une organisation efficace. Un coordinateur enseignant assure la communication entre les professionnels et les bénévoles qui entourent l’enfant hospitalisé, personnel médical, enseignant, aide-soignant, psychologue et travailleurs sociaux.


Qu’apporte l’association aux enfants ?

L’AISCOBAM leur permet de ne pas être en rupture avec les cours qu’ils suivent dans leur scolarité puisque les professeurs se mettent en relation avec les établissements scolaires d’origines. On ressent que durant un cours, l’enfant ne se considèrent plus comme un malade mais un élève. Pendant la classe, il va oublier sa maladie et s’occuper et se préoccuper d’autres choses ce qui leur fait énormément de bien.

Accueil: Corps
Chien faisant face vers le bas

APSEM

Samuel Pacheco

Quelle est la mission de votre association ?

La mission de notre association porte sur un point fondamental, celui de répondre au besoin des enfants de pratiquer une activité physique durant leur longue hospitalisation.

C’est pourquoi il a été décidé, en 1997, de créer une association dont l’action serait de promouvoir et de faciliter l’accès au sport des enfants et adolescents hospitalisés au CHRU Enfants de Nancy-Brabois. Au cœur de l’Hôpital d’Enfants de Nancy-Brabois, dans le service d’Oncologie Pédiatrique, il a été possible de développer une méthode pionnière et novatrice. Une démarche approuvée et validée par l’équipe médicale, a vu le jour. Cela permet à notre association de proposer aux enfants malades et handicapés des activités sportives et ludiques prenant en compte leur état et leurs conditions d’hospitalisation.

Pouvez-vous nous expliquez votre parcours ?

J’ai étudié à la faculté de sport de Nancy, c’est en troisième année que je me suis dirigé vers la filière Activités Physiques Adaptées & Santé. Au cours de mon cursus scolaire, de nombreux stages m’ont permis d’acquérir l’expérience nécessaire pour adapter des activités sportives au plus grand nombre : stage en institut médico-éducatif, stage handisport, séjour sportif de vacances adaptées, et également un stage au sein de lʼAPSEM à l’hôpital d’enfants avec Sophie LAMBERT (professeur d’éducation physique et sportive de l’éducation nationale intervenant à mi-temps à l’hôpital pour travailler en collaboration avec lʼAPSEM).

Ma licence obtenue (juin 2010), c’est tout d’abord vers Poitiers que je me suis rendues pour exercer mon activité pendant près d’un an au sein d’un club d’Handball où j’étais en charge du développement du secteur jeune et handicap. Je suis revenu sur Nancy en septembre 2011 et rejoint l’Apsem.


Pouvez-vous nous parlez d’un de vos projets ?

Le projet le plus novateur est la création de salle de sport. Lundi 12 octobre 2020, nous avons inaugurer la Salle de sport mis en œuvre par l’hôpital d’enfants du CHRU de Nancy-Brabois et notre association. C’est l’une des premières en France. Le parrain de l’événement, Théo Curin, athlète paralympique et nageur amputé des quatre membres, était présent lors de cette manifestation. Une action coordonnée par Valérie Ratajczak, cadre supérieur de santé paramédical puéricultrice au CHRU de Nancy et moi-même. Le coût total des travaux et d’équipement de la salle s’élève à 27.600 €, montant récolté grâce aux dons de plusieurs structures.


Comment travaillez-vous avec les enfants ?

Je propose des séances de groupes aux enfants et adolescents qui ont la possibilité de sortir de leur chambre. Cela leur permet notamment d’interagir et de profiter d’un lieu de discussion et d’échange avec d’autres mais également d’appréhender le milieu hospitalier autrement.

Les familles peuvent également partager ces séances sportives et ludiques. Chaque action que nous menons chaque jour auprès des enfants se fait en concertation avec le milieu médical (autorisation des médecins, présence de personnel soignant si besoin, présence d’animatrice de l’hôpital…).

Les sorties extérieures, quand l’état des enfants le permet, se font avec les précautions inhérentes à leur état physique et sous assurance de l’association.

Accueil: Conclusion
Bébé qui sourit en dormant

Rafael Lorraine

Denis Bettinger

En quoi consiste l’association ? 

Rafael Lorraine est une association œuvrant au soutien des enfants malades de la région lorraine. Notre but est de rendre leurs rêves réalisables et apporter de la gaieté pour illuminer un quotidien pas toujours facile. Nous avons deux grandes ambitions au sein de cette association, la première est de faire rêver les enfants pour leur donner un moral et une énergie qui leur permette de lutter contre la maladie, et la deuxième est de leur faire vivre des souvenirs inoubliables.


Pourriez-vous nous donner un exemple de projet que vous avez effectué avec les enfants

Au sein de l’association nous avons plusieurs types d’actions. Il y a l’action individuelle, celle qui part du rêve d’un enfant et qui n’est organisée que pour lui. C’est souvent une rencontre avec une idole ou un évènement à vivre. Par exemple nous avons déjà organisé un voyage aux Etats-Unis pour qu’un enfant puisse aller voir son idole qui était catcheur.
Ensuite il y a des sorties pour des groupes d’enfants suite à des propositions du monde associatif, par exemple nous sommes déjà̀ partis deux fois en Laponie avec des groupes de 14 enfants.
Puis il y a des organisations d’activités, sportives ou ludiques entre enfants malades, comme aller au parc de loisirs, au zoo etc.. 

Vous évoquiez tout à l’heure des rencontres avec des idoles, comment faites-vous pour rentrer en contact avec eux ? 

 La plupart du temps tout se fait sur les réseaux sociaux, nous leur envoyons un message en expliquant la démarche de l’association.

Comment arrivez-vous à financer tous ces projets ? 

Tout d’abord je tiens à préciser que nous n’avons aucune aide régionale ni de l’Etat. Tous les projets sont financés grâce à de généreux donateurs. Il y a une traçabilité complète pour chaque don. Nous avons un budget annuel d’environ 150 000 euros par an, ce qui nous laisse une belle enveloppe afin de réaliser les rêves des enfants. Sachant que nous ne demandons aucune participation financière venant des familles des enfants malades. 

Avez-vous des projets à venir ? 

Oui, nous avons pour projets d’aller au Futuroscope, au Puit du Fou et également de partir 5 jours à Dinar. »


Cela vous prend-il du temps de gérer l’association ? 

Je passe entre 20 et 30 heures par semaines sur l’association, afin de récolter des fonds, d’organiser les projets, d’essayer de contacter les idoles des enfants. Ce que je fais, je le fais par passion ! Nous sommes tous bénévoles et notre salaire est le sourire des enfants. 

Accueil: Conclusion
Course de sensibilisation au cancer du s

Ligue contre le cancer

Michel Dauca, Christine Membre

Qu’est-ce que la ligue contre le cancer ? 

La ligue contre le cancer est une association qui finance la recherche, participe à la prévention des risques et accompagnes les personnes malades et leurs proches. C’est une association indépendante reconnue d’utilité publique et c’est le 1er financeur privé de la recherche contre le cancer en France.


Pourriez-vous nous donner plus de précisions concernant les différentes missions de l’associations ? 

La Ligue lutte avant, pendant et après la maladie dans 3 directions complémentaires :
Tout d’abord par la recherche,
Ensuite par l’information et la promotion des dépistages, pour vous donner un exemple nous faisons de la prévention contre le tabac dans les collèges et contre les maladies cancéreuses dans les lycées. Nous faisons également chaque année des agendas pour les élèves de primaires afin de faire la promotion de l’association. 

Et la troisième mission est l’accompagnement des malades et de leurs proches. 

Que faites-vous avec les dons récoltés ? 

Grâce à la générosité de nos adhérents, la Ligue dispose de moyens financiers pour assurer une aide efficace pour les personnes malades et leurs proches.
Nous accompagnons les personnes malades et leurs proches et aidons les acteurs de santé à améliorer la qualité de la prise en charge des personnes malades. 

Sur notre budget annuel de 100 millions d’euros, environ 6 millions d’euros sont consacrés chaque année à l’aide sociale aux personnes touchées par le cancer.
De plus nous donnons accès à un accompagnement thérapeutique complet pour les malades avec un soutien psychologique, des soins socio-esthétiques, des activités physiques adaptées etc.. 

Vous avez évoquez précédemment vos adhérents, combien en avez-vous sur Nancy ? 

Nous comptons aujourd’hui 8 229 adhérents précisément, chaque adhérent paie une cotisation de 8€ par an, ce qui participe au développement de nos fonds. 

Accueil: Conclusion
maison

AREMIG

Catherine Rossi

Qu’est-ce que l’AREMIG ? 

« L’ AREMIG est l’Association pour la Rechercher et les Etudes dans les Maladies Infantiles Graves. Nous sommes une association régionale qui soutient les enfants atteints de cancer ou d’autres maladies graves qui sont soignés au CHU de Nancy et leurs familles.
L’AREMIG a une volonté de réagir, soutenir et redonner le sourire. Cette associations a été créée en 1982 sous l’impulsion de parents d’enfants atteints de cancer et de soignants du service d’oncohématologie pédiatrique de l’hôpital de Nancy. Elle a été reconnue d’utilité publique par décret le 21 juillet 2009. 

Quelles sont ces principales missions ? 

L’AREMIG a trois grandes missions. La première est d’aider les enfants en améliorant leur conditions d’hospitalisation par l’aménagement des espaces, par l’achats de matériels, de jeux etc.. mais aussi leurs conditions de vie à la maison lorsque c’est nécessaire.
Sa seconde mission est d’aider la recherche contre le cancer, cela se fait en participant à la recherche en Onco-pédiatrie, en finançant du matériel de laboratoire, des postes de technicien ou des bourses d’étudiants en médecine, mais aussi en soutenant des programmes de recherches au niveau national. 

Et pour finir sa troisième mission, est d’aider les parents d’enfants malades, en les soutenant et en leur permettant d’être hébergés à proximité de leurs enfants, et leur apporter l’amour et le soutien dont ils ont besoin au cours de leur hospitalisation. Pour répondre à ce besoin, la Maison des Parents a pu être construite grâce aux dons de particuliers, de mairies, d’entreprises et de diverses manifestations. Face à une demande croissante, une extension a été réalisée en 2009 portant ainsi le nombre de chambres de 11 à 18 dont une pour personne à mobilité réduite.

Que faites-vous afin de récolter des fonds pour l’associations ? Chaque années, nous organisons une randonnée, un défilé de mode, un marché de Noël et nous effectuons également le mois du Cancer en septembre durant lequel nous faisons beaucoup de manifestations. L’année dernière le mois de septembre nous a rapporté 42 000 euros. Hormis ces manifestations nous avons également des donneurs, en 2019 nous avons reçu 110 000 euros de dons. 

Que faites-vous principalement avec ces fonds ? 

Ces fonds servent principalement à l’entretien de la maison des parents, à l’achat de matériel médical, à financer les frais de décès des enfants pour les familles en difficultés, et à payer le permis ou des formations professionnelles aux enfants. 

Avez-vous de nouveaux projets ? 

Oui, bien sûr ! Nous avons quelques projets d’aménagements concernant la maison des parents, nous comptons renouvelés l’opération Ouistiti et le marché de Noël. 

Accueil: Conclusion
Toutes les vidéos

Toutes les vidéos

Accueil: Voir
Accueil: Pro Gallery
bottom of page